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Séminaire « L’épistémologie féministe perturbatrice de l’enseignement et de la recherche », 22 avril 2013

LIEU

En personne

Le séminaire « L’épistémologie féministe perturbatrice de l’enseignement et de la recherche », organisé conjointement par le RéQEF et le CSU, a eu lieu le 22 avril 2013. Cette activité s’adressait aux doctorant.e.s ainsi qu’aux étudiant.e.s en master/maîtrise qui souhaitaient partager leur réflexion et questionnement sur les implications du féminisme dans le développement et la diffusion de la connaissance sociologique et de la science politique. Cette journée a été l’occasion de discuter des objets de recherche, de cadres d’analyse et de méthodes de recherche autour de présentations étudiantes.

L’épistémologie féministe perturbatrice de l’enseignement et de la recherche

Lundi 22 avril 2013
9h-12h (Montréal)
en visioconférence UQAM salle A-1730 (pav. Aquin)

Animatrice : Artemisa Flores, doctorante au Cresppa-CSU

Facilitatrices : Sandrine Ricci, RéQEF-UQAM et Anne-Marie Devreux, Cresppa-CSU

Présentations

  1. Tiphaine Besnard, doctorante Paris 8-Cresppa-CSU : « Ce que l’épistémologie féministe fait à la psychologie: invention, résistances et réinvention des discours savants sur les femmes et la sexualité dans la psychanalyse et la sexologie »
  2. Marie Perrin, diplômée de master en science politique de l’IEP de Lille : « Introduire les enseignements de genre en master : changements dans l’enseignement et à l’université » (sous réserve)
  3. Le Collectif Genre du département de sociologie de Paris 8 : Salima Amari, Magdalena Brand, Aurélie Damamme, Marie Mathieu (porte-parole) : « Un collectif pour enseigner ce genre qui dérange »

Discussion libre autour des présentations ou en lien avec les projets/intérêts de recherches des participantes, à Montréal et à Paris.

Cette activité s’est inscrite dans « Les effets de l’engagement féministe dans la production et la diffusion de la connaissance (France-Québec) »

Journée de recherche doctorale CSU/RéQEF organisée par Mélissa Blais, UQAM et RéQEF et Anne-Marie Devreux, CNRS, Cresppa-CSU.